Sur un plan personnel, la condamnation de Jacques Chirac, s’ajoutant à sa maladie, m’attriste profondément. Quelle fin de vie terrible pour un homme qui a servi la France toute son existence ! En tant que juriste, je suis obligé de reconnaître que la Justice, dans son indépendance, a rendu un jugement très sévère mais logique : il est vrai que, pendant des années, des hommes et des femmes ont été payés par la mairie de Paris alors qu’ils travaillaient pour un parti politique.
Mais ces pratiques illégales ont-elles disparu ? J’espère qu’il n’y a pas en Rhône-Alpes, au sein des grandes collectivités territoriales ou dans les associations qu’elles subventionnent, des salariés qui sont en fait des permanents politiques….
cdlv